03/10/2008
A Nous ?!
28/09/2008
Passage de relais
Et voilà chers nouveaux hypokhâgneux...
il est temps, maintenant que vous commencez à connaître le monde passionnant de l'hypokhâgne,
de vous passer le relais, en espérant que vous continuerez à faire vivre ce blog,
avant de le passer à votre tour à la génération suivante !
A vous, illustre relève !
19/09/2008
un nouveau lien entre nous *
11/09/2008
Parrains / Marraines by hk1
Bref nous sommes à votre disposition pour vous soutenir, vous aider ( eh oui nous ne sommes pas en kh mais nous sommes poutant intelligents !!! ) mais aussi vous consoler quand vous pleurerez de désespoir a la fin d'un cour comme ceux de Joris ou bien tant d'autres comme ceux de la Madone et même à la suite d'une "divine" correction et la remise des "copies bien humaines".
Parce que nos chers khâgneux sont débordés, occupés, surbookés, littéralement innondés par les devoirs, les savoirs et les connaissances... Nous vous proposons chers petits hypokhâgneux de répondre à toutes vos questions ( je peux vous fournir nos mails) étant donné que nous sommes des étudiants et que nous avons énormément d'heures de cours ("je plaisante !!!") on peut bien vous accorder un peu de notre temps !!!
les hk2 sont aussi les bienvenus dans notre cercle
bon courage à tous et faites vivre ce blog !!! demandez les identifiants
les anciens
PS. faites moi passer vos mails sur cette adresse
dartenicworld@hotmail.fr
05/09/2008
15/06/2008
Quand vient la fin de l'année...
Nous partîmes 50 nous resterons 41 Hypokhâgneux "spongiformes" dont certains poussent le vice jusqu'à aller en khâgne, espace suprême réservé aux élus. Mais n'oublions pas d'où nous venons : de la HK1, classe soudée, autonome, amicale et à taille humaine, tout comme la Prépa de Blaise.
Vous, petits Hypokhâgneux encore pleins de candeur, essayez de reproduire ce que nous avons essayé de faire. Ne soyez pas tentés par une fausse compétition. Il faut travailler, certes, mais ce n'est pas une fin en soi.
Faites vivre ce blog qui sera légué par nos amis khâgneux Marion, Benoît, Dorine ou les autres car c'est un symbole de votre unité.
Faites vivre votre Hk's Family, ne croyez pas que les Hk2 sont des ennemis...
Un jour un grand professeur a dit que la prépa était "l'année qui marquait le plus une scolarité..."
C'est là le défi : conserver, prolonger, évoluer...
Bonne chance ! en tout cas pour nous c'est réussi !
Nicolas, Délégué des HK1, promo 2007/2008
16/05/2008
Khôles de Philosophie
MARDI - 308
JEUDI - 543
VENDREDI - 310
Nouvelles dates !
VENDREDI 6 JUIN à partir de 15h30
LUNDI 9 JUIN à partir de 14h
MARDI 10 JUIN à partir de 16h
ATTENTION CERTAINES DATES ONT DEJA ETE RESERVEES
14/05/2008
23/04/2008
Repas de Classe - 30 Avril / 02 Mai 2008
- sachant que nous aurions le resto le mercredi pour nous seuls
il s'agit d'un super resto savoyard très littéraire http://pagesperso-orange.fr/petitchaperonrouge
les prix sont divers et j'ai reservé pour 15 à 25 personnes veuillez me confirmer votre présence le plus rapidement possible
je rappelle que le lendemain nous n'avons pas cours et que les concours blancs approchent
aussi que nous avons étés dépassés, nous les hk1 toujours près pour des repas de classes par les autres, nous avons 2 repas en retard !!!
ceci est l'occasion d'une petite soirée sympathique entre nous
signé le délégué qui essaye encore de servir a quelquechoses |Nico*|
FAITES PASSER LE MESSAGE
REPONDEZ SOIT SUR CETTE ADRESSE SOIT SUR LA MIENNE
dartenicworld@hotmail.fr
20/03/2008
Le dernier "poilus" hommage de la France à ses sauveurs - Revue de presse
Lazare Ponticelli - La mort du dernier témoin ne fera pas oublier la barbarie
C'était « le dernier poilu », comme l'a dit et répété la presse. Lazare Ponticelli est mort le 12 mars, à 110 ans. Bien qu'ayant demandé pendant toutes ses dernières années à ne pas avoir d'obsèques nationales, il en a eu quand même quelques jours après dans le cadre d'une célébration organisée aux Invalides, le 17 mars. Il fallait bien que Sarkozy et quelques autres trouvent l'occasion de pontifier sur la guerre, la paix et « l'amour de la patrie ».L'histoire de Lazare Ponticelli, au début du 20e siècle, fut celle de bien des immigrés : venu d'Italie, arrivé seul en France à 9 ans, ne sachant ni lire, ni écrire, ni parler français, il fut ramoneur, puis crieur de journaux. Et en 1914, engagé volontaire.Une abominable boucherie Il connut les pires moments de l'abominable boucherie que fut la Première guerre mondiale. Et de tous les côtés : car après avoir combattu dans l'armée française, il fut arrêté et incorporé de force en 1915 dans l'armée italienne. Après les tranchées de l'Argonne sous l'uniforme français, dans un régiment qui perdit, lors du premier combat, 160 hommes en dix minutes, Ponticelli connut donc sous l'uniforme italien, les massacres du front italo-autrichien dans les Dolomites.Sur la fin de sa vie, comme beaucoup d'autres anciens combattants, Ponticelli ne parlait à la presse que pour dire son dégoût de la guerre et du « gâchis » qu'elle représenta - avec 9 millions de tués et 6,5 millions de blessés. Tout comme un autre de ces survivants, mort peu avant lui, Louis de Cazenave, qui à 108 ans disait encore avec colère à un journaliste : « La guerre ? Un truc absurde, inutile. À quoi ça sert de massacrer les gens ? Le patriotisme ? Un moyen de vous faire gober n'importe quoi ! »Les fraternisations Parmi les souvenirs de ces « poilus », ceux de Ponticelli autant que ceux des autres, on trouve aussi des histoires de fraternisation entre ces soldats réputés ennemis mais qui n'étaient rien d'autre que « des prolétaires sous l'uniforme ».Ces souvenirs de fraternisation ont été soigneusement évités dans le discours que Sarkozy a prononcé devant le cercueil de Ponticelli : le rédacteur de ce discours a préféré ne garder que ce qui était politiquement et patriotiquement « correct ». Ainsi, Sarkozy a décrit, avec des trémolos dans la voix, comment le soldat Ponticelli alla, sous le feu, sauver un soldat français « dont la jambe avait été arrachée par un éclat d'obus ». L'anecdote a été tronquée : car avant de sauver ce soldat, Ponticelli était allé récupérer un soldat allemand blessé et l'avait ramené jusqu'à ses lignes. De même, Sarkozy n'a pas raconté les moments de fraternisation entre soldats italiens et autrichiens. Ponticelli racontait que d'un camp à l'autre, « on s'envoyait des messages avec un élastique. Ils nous donnaient du tabac et nous, des boules de pain. Personne ne tirait plus. » Jusqu'à ce que l'état-major découvre le manège et « nous déplace dans une zone plus dure ».De telles fraternisations ont éclaté sur tous les fronts et ont culminé en 1917. C'est cette année aussi que la haine de la guerre, des massacres et des tranchées provoqua non seulement la révolution russe, mais aussi la plus formidable vague révolutionnaire que l'Europe eût jamais connu.On comprend que plutôt que d'évoquer ces souvenirs, l'État français organise une cérémonie convenue, avec lecture de poèmes ridicules « Ponticelli, avec un P comme le Paradis que vous rejoindrez ».La mort de ce dernier témoin ne doit pas éteindre la mémoire de la Première Guerre mondiale. Celle-ci reste dans des livres, comme ceux de l'auteur allemand Remarque ou d'auteurs français comme Jules Romain ou Henri Barbusse. Et surtout, elle doit rester dans la mémoire du mouvement ouvrier, comme la preuve que le capitalisme porte en lui la guerre, et la portera tant qu'il existera. Comme l'écrivait Trotsky en 1916, « l'extermination automatique de la fleur des peuples a poursuivi sa voie (...) Ouvrières et ouvriers d'Europe ! Si une faible partie seulement de ces sacrifices, de ces vies, de ce sang que la guerre exige avait été sciemment consentie à la cause du socialisme, l'Europe eut été tôt libérée du honteux régime d'oppression et d'exploitation ! »Il n'y a que le renversement de ce système qui pourra interdire, à l'avenir aux capitalistes de jeter encore une fois l'humanité dans la barbarie.
Pierre VANDRILLE
http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2068&id=40
Depuis la levée du jour, les drapeaux sont en berne sur le fronton des mairies. A midi, lundi 17 mars, la foule des grands jours se presse, dans l'église Saint-Louis-des-Invalides, à Paris, pour l'hommage national que le dernier "poilu" français avait fini par accepter du bout des lèvres, il y a deux mois, à 110 ans. "Je crois que nous devons être reconnaissants à Lazare Ponticelli et à sa famille d'avoir accepté cet hommage national et cette célébration élargie", commente Mgr Patrick Le Gal dans son homélie. "Lazare, c'est l'homme qui ne s'appartient plus tout à fait", car "il a traversé l'Histoire".
Trois siècles d'histoire sont venus lui dire un dernier adieu : des chapeaux de feutre à grande plume d'aigle, ceux de chasseurs alpins italiens, qu'il avait rejoints en 1915, dix-huit ans après sa naissance en Emilie ; des faux "poilus" dans des uniformes bleu horizon, pour raconter les huit millions et demi d'hommes mobilisés entre 1914 et 1918 ; pour le XXIe siècle, sont venus l'un des ex-présidents de la Ve République, Jacques Chirac, et son successeur depuis 2007, Nicolas Sarkozy, qui joint ses mains et se signe à plusieurs reprises.
Mais "Lazare" avait aussi une grande et belle famille, et des amis venus en nombre. Avant que quatre soldats de la légion étrangère n'emportent son cercueil, Patrick Large raconte en quelques mots son grand-père : sa manière de dire, ainsi, "quand le pain était à l'envers sur la table : "On ne laisse pas le pain couché sur le dos.""
Sur les pavés, Nicolas Sarkozy a pris la main de la fille du "der des der". Définitivement consacré historien officiel du quinquennat, l'académicien Max Gallo cite Primo Levi : "Considérez si c'est un homme/Que celui qui peine dans la boue", et loue ce début de XXe siècle qui fut "le temps de l'héroïsme sans grands mots". Puis, sous le dôme des Invalides, on dévoile une plaque qui, à côté du tombeau du maréchal Foch, promet que "la France conserve précieusement le souvenir de ceux qui restent dans l'Histoire comme les "Poilus" de la Grande Guerre".
"Le souvenir, en effet, est fragile quand la mort est passée, dit M. Sarkozy. Nul désormais ne racontera plus à ses petits-enfants ou à ses arrière-petits-enfants la vie terrible des tranchées. (...) En cet instant, dans toute la France, la pensée de chacun se tourne vers ces femmes et ces hommes qui nous ont appris la grandeur du patriotisme, qui est l'amour de son pays, et la détestation du nationalisme, qui est la haine des autres."
Le choeur de l'Armée française entonne plus gaiement le chant fétiche des soldats des tranchées, Quand Madelon vient nous servir à boire, avant que Lazare Ponticelli ne soit inhumé, au cimetière parisien d'Ivry-sur-Seine.
Ariane Chemin
http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/03/18/l-hommage-de-la-nation-au-dernier-poilu-celui-qui-ne-s-appartient-plus-tout-a-fait_1024566_3224.html
06/03/2008
La rue d'Ulm...pour les curieux !
08/02/2008
BICENTENAIRE
Journée du bicentenaire du lycée Blaise Pascal : une vraie campagne napoléonnienne !
Le lycée Blaise Pascal, de Clermont-Ferrand a été fondé en 1808 par Napoléon Ier, il y a exactement 200 ans. Aussi, ce vencredi 8 février 2008 ne pouvait être identique aux autres... C'est pourquoi nous avons décidé de marquer l'événement.
Ainsi, lorsque nous avons été informés des célébrations pour le bicentenaire, il y a un mois, nous avons immédiatement été amusés par l'idée de faire une reconstitution de cette première journée d'existence du lycée, le 8 février 1808. Pour cela, nous avons eu besoin de trouver des costumes d'époque. Où chercher ? Que faire ? Le soir d'une journée de labeur, comme tous les jours en hypokhâgne et khâgne (classes préparatoires littéraires), au détour d'une rue, la rue du Port, nous sommes tombés sur un magasin de costumes, Arts et Costumes - Auvergne Patinage Artistique*.
Nous avons passé la porte et nous nous sommes plongés dans cet environnement de costumes, de tous lieux et époques, avec émerveillement. Passionnés d'histoire, nous étions pointilleux sur la reconstitution précise d'une journée de 1808 mais très vite nous avons tous étés tentés par de légers anachronismes : rien que pour la beauté du costume, mais aussi pour la beauté du geste.
Le jour même, nous n'étions pas les seuls costumés ; nos camarades scientifiques jouaient aux révolutionnaires, tandis que ceux parmi nous qui étaient costumés, dans une journée haute en couleurs, criaient « vive l'Empire, vive la République, vive Blaise Pascal, vive les hypokhâgneux, vive les khâgneux, vive la France !!! ».
Aussi, afin de parachever cette journée mémorable, nous nos sommes réunis dans un petit restaurant sympathique de Clermont, le Don Corleone, rejoints par quelques uns de nos professeurs, pour fêter comme il se doit un retour de deux siècles en arrière.
Nous sommes fiers d'appartenir à cette longue liste que forment et formeront les élèves passés, présents et futurs de ce lycée. C'est pourquoi nous tenons à perpétuer cette tradition de scander la vie des classes préparatoires, malgré le travail qu'elles demandent, par de telles expériences et ceci grâce à des classes très soudées. Ainsi, plus tard, se souvenant de ces journées spéciales, nous pourrons dire :
« C'était quand même bien, l'hypokhâgne ! »
En hommage aux élèves du Lycée, passés, présents et à venir...
Cindy, Marion et Nicolas
http://www.bphk1.blogspot.com – plus de photos
blog officiel par les classes de prépas littéraire
http://bpbicentenaire2008.blogspot.com
01/02/2008
les reconstitutions se précisent ^^
Nous sommes trois classes de Classes préparatoires soudées et nous avons eu l'idée dans le cadre du Bicentenaire du Lycée Blaise Pascal de reconstituer « une journée 1808 », de se mettre ainsi, l'espace d'une journée dans la peau de nos prédecésseurs.
Dès lors nous devions chercher des costumes d'époque.
En effet, nous sommes de nombreux passionnés d'Histoire et reconstituer cet événement considérable qu'est un Bicentenaire nous est apparu comme important et nécessaire.
Néanmoins, jeunes étudiants, nous avons de petits moyens.
C'est pour cela que nous sollicitons votre aide.
Nous n'avons pas, notamment de structures d'aide qui pourrait financer ce projet. Nous sommes pourtant pleins de bonne volonté et voulons que cette journée soit marquante.
Nous sommes alors partis à la recherche d'un magasin de costume qui pourrait nous aider: Nous vous avons trouvé !
Nous ne vous cachons pas que nous sommes tous tombés sous le charme de vos collections; de plus nous avons étés très bien aidés par la très gentille dame qui est au magasin, que nous remerçions de tout coeur.
Les Costumes sont tous magnifique et grâce à ceux ci nous ferons sensation nous en sommes sûrs !
Toutefois nous voudrions tous participer mais les prix pour nos budjets peu elevés stoppent nos ardeurs enthousiastes,
Nous aimerions tous payer et ainsi contribuer à aider votre association
Néanmoins, nous pourrions vous aider autrement.
C'est ainsi que nous nous sommes réunis, les trois classe de Prépas Littéraires et avons élaborés ce projet:
Nous nous engageons à payer la somme de 10€ par costumes qui seront empruntés du jeudi 7 au vendredi 8 (samedi 9 12h00 au plus tard).
De plus, nous sommes prêts à rédiger un Article sur le journal local (Ici la MONTAGNE) relatant l'intégralité de notre journée (photographie à l'appui) toujours en ayant soin de mentionner votre aide précieuse.
Nous sommes prêts encore à publier les photos sur nos sites respectifs de classes qui ont un grand echo dans le lycée (http://www.bphk1.blogspot.com/ - http://bphk2.unblog.fr – et demander un affichage des photos sur le site officiel du lycée – http://www3.ac-clermont.fr/etabliss/blaisexp/bicentenaire/) toujours en ayant soin de faire apparaître votre logo et le nom du magasin « Arts et Costumes »
De plus nous seront heureux de vous retrouver le Vendredi 8 février ainsi que durant du 28 Mars au 5 Avril autour d'un verre pour vous remercier plus amplement.
Nous ne pourrons malheureusement rien faire sans votre aide.
Merci au nom de tous les élèves de classes Préparatoires Littéraire, présents, passés et à venir, de toutes la sollicitude que vous porterez à notre demande,
veuillez agréer Madame, Monsieur, l'expression de nos sentiments distingués.
PS: Ci-joint le programme des « journées du Bicentenaires »
28/01/2008
25/01/2008
21/01/2008
Semaine du 02 au 08 Février | journée des Futurs HK | et Bicentenaire
Dans le Cadre du BICENTENAIRE de L'ETABLISSEMENT BLAISE PASCAL les délégués des classe de HK/KH proposent une "reconstitution sympathique" de la première journée de classe celle du 08/02/1808.
Nous avons découvert un magasin de costumes qui nous font un prix pour la location mais si vous trouvez autre choses, vos idées sont les bienvenues ( pour l'instant une trentaine de costumes sont disponibles 14 femmes / 18 hommes)
Amusons-nous !